ARCHITECTURE L’INTERVALLE

Ma démarche pour cette carte blanche, était bien l’envie de faire vivre ce chantier au rythme de mes découvertes mais toujours en quête du geste architectural premier. Les différentes étapes ont donné lieu à des rencontres tour à tour acrobatiques, poétiques et presque irréelles devant l’Homme du chantier, devenu funambule dans un décor de théâtre, une mise en scène à la Decouflé mais aussi Centaure aux pieds de béton. Illusion…

Être là, regarder, voler l’instant pour le faire revivre ensuite. Montrer l’aventure maintenant terminée et avancer vers une nouvelle vie, pour les bâtisseurs désormais sur d’autres chantiers, pour la salle qui palpite déjà de ses concerts et pour moi qui repars regarder ailleurs…